Comme je suis toujours en quête d'informations diverses, d'idées et d'expérience sur la gestion de projet dans les domaines technologiques, je suis tombé par hasard sur un livre passionnant, écrit par un chirurgien qui a travaillé pour l'OMS.
Cet homme, Atul Gawande a fait partie d'une équipe qui avait pour objectif d'améliorer la qualité de la chirurgie au niveau mondial. La solution face à une étude attentive des chiffres s'est avérée être révolutionnaire.
En ce moment, je suis en train d'entrer dans le monde merveilleux de la documentation avec DITA XML. Cherchant à savoir s'il existe des chaînes d'édition vers pdf utilisant LateX, j'ai innocemment demandé à mon ami ce qu'il en pensait en tapant "dita latex"...
Erreur magistrale ! DITA est plus connu sur le web pour Dita von Teese, striptease de son état et si on y ajoute latex, les choses deviennent plus corsées...
La lecture de la section bio de Slate.fr est très instructive. Cet article décrit les mésaventures de Monsanto lors de la commercialisation du Round-up. C'est une traduction de l'article d'origine plus riche en information.
Cette histoire, c'est celle d'une idée qui devait rapporter pendant des décennies à la firme en lui permettant de vendre un herbicide et des semailles résistantes, bref un duo gagnant. Sauf que cela a tourné court.
Avant-dernier : Le secret des glaces qui nous a été quasiment mis dans les mains par la vendeuse de France Loisir. Comme je m'en doutais, c'est très moyen avec un scénario bien charpenté, mais où la charpente est justement trop visible. Le style ne réhausse pas l'affaire, même si je ne suis pas certain qu'on le doive à l'auteur original. Bref, c'est du roman de gare d'anticipation moyen. Je ne vous en dirai pas plus, car il n'y aurait alors plus rien à y découvrir.
Dernier : Des chevaux sauvages ou presque. Celui-là, je l'ai choisi en lisant la quatrième de couverture. Un roman biographique de Lily Casey par sa petite file. Lily Casey est née en 1901 dans le sud des Etats Unis. Elle va traverser le siècle dans son pays, passant de cow-girl à maîtresse d'école, ou de servante à tenancière. Bref, la trame n'est pas calculée, à peine romancée. Un bonne tranche de vie et une remise en perspective au niveau du quidam du pays de l'Oncle Sam. J'ai adoré.
Voilà, ma douce m'ayant offert le dernier tome du cycle Inheritance au mois de décembre, appelé lui-même inheritance, il a bien fallu que je me décide à terminer la série. Comme le fait remarquer son auteur, l'histoire a commencé il y a quasiment 10 ans et la patience d'attendre le tome suivant a été une épreuve quasi olympique.
Depuis le premier tome qu'il avait écrit à 15 ans à ce dernier, on apprécie la maturation des personnages et de l'auteur. Ce qui m'avait emballé au début, c'était la foison imaginative qui, il faut le dire ne devait pas trop savoir où elle allait. Cette fin au contraire, respire l'organisation, l'ordre et un gros effort pour faire rentrer toutes le briques lancées au fil des romans dans un seul et même mur.
La mission est réussie, même si du coup, l'histoire perd un peu de saveur. Je ne suis pas mécontent de quitter Eragon avec une histoire définitivement bouclée.