vu sur le blog de Laurent Duval, un Chuck Norris Facts à double détente :
Chuck Norris just sucks. If he were as smart and strong it's claimed, he'd just come here and slam my head on the keyboardasdmsdfvmwefjkmasd [space] [space] [space] [space] [space]
Tiens, c'est pas Morano qui l'a sortie celle-là
Assis devant "Ponyo sur la falaise" (la petite dernière le regarderait deux fois par jour si on lui accordait) au moment où Ponyo court sur les vagues, ma femme me regarde le plus sérieusement du monde et me dit :
Tu vois, si tu cherches à enfermer tes filles, elles vont aller à la cave pour déchaîner les forces des océans.
OK, message reçu...
lue ici :
Je dois sortir, je vous ramène des drosophiles ?
Faut pas grand'chose pour améliorer ma journée, en ce moment...
Depuis quelques temps, chaque matin, il y a quelques “paperboys” distribuant des 20 minutes sur la place des élephants.
“There ain’t no such thing as a free lunch” comme disent les aaméricains. Question :à qui appartient ce quotidien en cette période pré-électorale ?
Au bas d'un document trouvé sur le net, on peut lire :
This work represents the opinion of the author and not of Intel.
This paper is (c) 2008 by Intel. Redistribution rights are
granted per submission guidelines; all other rights reserved.
Je ne suis pas avocat, mais peut-on détenir le copyright des opinions d'un autre ?
XMODEM, YMODEM et ZMODEM, ce sont ces protocoles qui permettent de transférer par liaison série des fichiers (les jeunes qui ne savent pas ce qu'est une liaison série, ils se taisent).
Je me suis dernièrement trouvé face à un soft qui semblait très sélectif dans sa compatibilité, n'acceptant pour les transferts YMODEM que ceux en provenance de HyperTerminal® disponible sur MS Windows®. Pour les autres clients, et particulièrement sous Linux, bizarrement, la taille de transfert indiquée donnait des valeurs qui ressemblaient fortement à un code de retour de fonction -1 interprété comme un entier non signé (ah.. Les joies des valeurs spéciales comme code de retour, il faudra que je vous en parle un jour).
Voulant percer le mystère de cette vilénie, j'ai décidé de voir de plus près de quoi il en retournait. Il apparaît que derrière la taille du fichier, de manière optionnelle, on peut disposer sa date de modification et ses droits unix. En ce que j'ai pu comprendre, l'outil n'accepte que la version sans option et ne gère pas les cas où les champs optionnels sont présents. En effet, la gestion sous DOS n'incluait pas ces champs. Ceci est assez compréhensible, vu la gestion du temps à l'époque de MS-DOS. Plus précisément :
Two Microsoft blunders complicate the use of modification dates in
file transfers with MSDOS(TM) systems. The first is the lack of
timezone standardization in MS-DOS. A file's creation time can not
be known unless the timezone of the system that wrote the file4 is
known. Unix solved this problem (for planet Earth, anyway) by
stamping files with Universal Time (GMT). Microsoft would have to
include the timezone of origin in the directory entries, but does
not. Professional-YAM gets around this problem by using the z
parameter which is set to the number of minutes local time lags GMT.
For files known to originate from a different timezone, the -zT
option may be used to specify T as the timezone for an individual
file transfer.
Deux remarques à propos de ce texte :
Je savais Albanel à l'origine de Hadopi, mais là, je suis cloué...
Pour une fois, ce sera une citation tirée de Star Trek :
With the first link, the chain is forged. The first speech censored, the first thought forbidden, the first freedom denied, chains us all irrevocably.
Et une histoire racontée par RMS lui-même pour faire bonne mesure
