Avant-dernier : Le secret des glaces qui nous a été quasiment mis dans les mains par la vendeuse de France Loisir. Comme je m'en doutais, c'est très moyen avec un scénario bien charpenté, mais où la charpente est justement trop visible. Le style ne réhausse pas l'affaire, même si je ne suis pas certain qu'on le doive à l'auteur original. Bref, c'est du roman de gare d'anticipation moyen. Je ne vous en dirai pas plus, car il n'y aurait alors plus rien à y découvrir.
Dernier : Des chevaux sauvages ou presque. Celui-là, je l'ai choisi en lisant la quatrième de couverture. Un roman biographique de Lily Casey par sa petite file. Lily Casey est née en 1901 dans le sud des Etats Unis. Elle va traverser le siècle dans son pays, passant de cow-girl à maîtresse d'école, ou de servante à tenancière. Bref, la trame n'est pas calculée, à peine romancée. Un bonne tranche de vie et une remise en perspective au niveau du quidam du pays de l'Oncle Sam. J'ai adoré.
Voilà, ma douce m'ayant offert le dernier tome du cycle Inheritance au mois de décembre, appelé lui-même inheritance, il a bien fallu que je me décide à terminer la série. Comme le fait remarquer son auteur, l'histoire a commencé il y a quasiment 10 ans et la patience d'attendre le tome suivant a été une épreuve quasi olympique.
Depuis le premier tome qu'il avait écrit à 15 ans à ce dernier, on apprécie la maturation des personnages et de l'auteur. Ce qui m'avait emballé au début, c'était la foison imaginative qui, il faut le dire ne devait pas trop savoir où elle allait. Cette fin au contraire, respire l'organisation, l'ordre et un gros effort pour faire rentrer toutes le briques lancées au fil des romans dans un seul et même mur.
La mission est réussie, même si du coup, l'histoire perd un peu de saveur. Je ne suis pas mécontent de quitter Eragon avec une histoire définitivement bouclée.
Beaucoup de personnes qui me connaissent vous diront que j'ai tendance à douter, des fois au délà du raisonnable, de ce qu'elles me disent. Je ne pense pas être seul, car après tout, nous sommes dans la patrie de Descartes.
Si en plus la réunion est technique, là c'est carrément le mode paranoïaque qui se met en route, mais qui ne peut malheureusement empêcher toutes les erreurs. Dans ce mode, j'ai un cablage pavlovien sur certaines expressions.
Si quelqu'un commence la phrase par "en théorie" ou "en principe", j'ai les poils de la nuque qui se dressent immédiatement. On parle de technique au travail et la théorie, ça ne sert généralement qu'à expliquer pourquoi ça ne marche pas. Pour que ça marche, il faut un peu plus que des considérations éthérées.
Si la phrase commence par "a priori" ou "à première vue", la pensée réflexe qui me vient, c'est : "toi, mon gars, tu as été flemmard et tu n'as rien testé". Et tout le monde sait qu'un design fonctionne tant qu'on n'a pas essayé de l'utiliser.
Un autre cas est l'utilisation du conditionnel, ou pire un "ça devrait...", preuve d'un déli flagrant d'optimisme. Dans l'histoire du verre à moitié plein ou à moitié vide, ce qu'il faut surtout retenir c'est que le verre n'est pas plein. Peu importe son niveau de remplissage réel finalement.
Dans tous les cas, je me souviens du commentaire de O'Toole "Murphy est trop optimiste".
Notre halle de marché couvert a subi une mutation durant les dernières années pour accueillir de nouveaux magasins et un marché couvert rajeuni. La réouverture hier du marché a amené de nombreux curieux... Hé oui, par ici, c'est un évènement ! Rendez-vous compte, on a enfin une FNAC !
Mais le clou de cette réouverture, c'est... les escalators ! Comme me dit ma seconde : ça manquait, il n'y en avait pas à Chambéry.
Après Internet et les escalators, que va-t-il nous arriver pour que notre belle région sorte de son arriération
?
L'ANSSI recrute à tour de bras.
Note : et il semble qu'il y en ai besoin...
Au détour de mes lectures et surf sur internet, j'ai découvert une technologie qui porte mon nom. Elle s'appelle Avila Link. Malheureusement, il n'y pas vraiment lieu de s'en réjouir, mais comme je suis joueur, avant de vous donner l'explication, je vais vous la présenter sous forme d'une devinette.
Le mot "Link" dans le nom est un intrus à deux titres. Le mot Avila n'a rien à voir avec la ville espagnole, mais avec le nom d'un province d'un autre pays de langue espagnole.
Read More
« Previous page |
Displaying entries 41-48 of 427 |
Next page »