Une photo des hommes pour chaque minute
c’est ici
Le magazine Science a considéré bon de le rappeler : notre compréhension de l‘évolution a fait de nombreux progrès cette année. En plus, celà fait cent cinquante ans que Darwin l’a formulée : les espèces évoluent et se créent en réponse à des modification de l’environnement de vie qu’elles rencontrent ; c’est l’adaptation.
Aujourd’hui, travailler sur l‘évolution, ce n’est pas faire un choix philosophique : c’est faire appel à des sciences dures telles que la mathématique, la microbiologie ou la génomique. Tenter de revenir en arrière, en qualifiant d’hypothèse ce qui est manifeste dans la vie quotidienne de milliers de chercheurs, c’est faire preuve d’un fondamentalisme extrêmiste qui n’est pas de notre temps, et qu’il faut combattre. Car à la clef, cette meilleure compréhension pourra sauver des espèces, des millions de vies humaines, voire notre planète.
Extrait des règles de trivial pursuit :
bq. Comme vous relancez le dé chaque fois que vous répondez correctement à une question et lorsque vous êtes sur une case “Rejouez”, vous pouvez gagner vos six triangles marqueurs de couleur différente dès votre premier tour . Si cela arrive, tout joueur qui n’a pas encore lancé le dé peut tenter de vous égaler et faire match nul.
Désolé, je ne m’appelle pas Robert, ni Quid…
et si vous souhaitez, suivez le Père Noël à la trace
entendu à l’assemblée nationale : Mme Martine Billard. On vit de grands moments dans cet hémicycle ! Je n’aurais jamais pensé entendre un porte-parole de l’UMP nous donner Joey Starr en exemple.
Vous cherchez le rapport Pébereau sur les finances publiques ? ou tout autre rapport parlementaire ? Alors, la documentation française est pour vous !
Petit reportage sur J.K. Rowling (l’auteur de la série à succès “Harry Potter”, pour ceux qui sortent de leur caverne). On y apprend quelques trucs ; entre autre, elle a déjà écrit le dernier chapitre du dernier livre. Dans ce chapitre, on apprend ce que les élèves deviennent après avoir quitté Poudlard, “enfin, ceux qui survivent”. A ben ça ! Si c’est pas du scoop habilement distillé, je ne m’y connais pas. Pour la suite, si vous n’avez pas lu, et ne voulez pas que je vous gâche tout arrêtez de lire maintenant.
Eh non ! Arrivé dans la chambre de l’hotel, jeudi soir, j’ai vu un petit écriteau indiquant que l’accès internet était proposé dans la chambre via wifi (par un opérateur de téléphonie mobile…). Ayant déjà vu celà au Japon et en Chine, je me dis : “Tiens, on commence à se réveiller en France. On vient de comprendre l’utilité pour le client”.
Je tente de me connecter, et là surprise : bah, oui, il y a de l’accès, mais celui-ci est payant, et pas légèrement : 10 les 2H. OK, on n’a pas encore saisi que l’accès internet pouvait être une commodité de base. Alors, quand va-t-on nous faire payer la blanchisserie des serviettes de bain ?
Linus Torvaldsa shooté dans la termitière. Daniel Glazman a réagi .
j’aurais tendance à être d’accord avec Linus. Je préfère KDE … plus sérieusement, ne pas rendre une interface confuse n’a jamais été équivalent à la simplifier. Ce qu’il faut, c’est hierarchiser et avoir une logique irréprochable des accès et placements des différentes fonctionnalités. Cette logique peut évoluer au cours du temps, au fur et à mesure que le niveau d‘éducation informatique de la base d’utilisateur avance. Ce qui est certain, c’est que les fonctions basiques doivent être le plus visibles de prime abord.
Simplifier à outrance les fonctionnalités accessibles directement à l’utilisateur lambda et lui cacher les gestions plus avancées dans des interfaces secondaires semble peut-être une bonne option dans un premier temps, mais c’est aussi le condamner à ne pas “voir” les possibilités d’amélioration. Je ne m’y connais pas beaucoup en ergonomie mais je pense qu’une majorité d’utilisateur a la capacité à faire évoluer son utilisation de l’outil informatique de manière autonome, par curiosité ou par désir de faire mieux (expérience personnelle dans une petite structure).
La plupart des utilisateurs ont conscience que l’outil informatique doit les aider à effectuer leur tâches, et recèle la capacité de le faire. Planquer ces capacités sous le prétexte que “oh là là, mais c’est une utilisation avancée !”, c’est une manière de les débiliser : c’est trop compliqué pour vous et puis ça ne vous intéresse surement pas. Circulez y a rien à voir. Alors forcément, quand certains bravent l’interdit, c’est qu’ils commencent à toucher. Mais en informatique comme ailleurs, ce n’est pas le fait découvrir les fonctionnalités, mais bien celle de les utiliser qui fait la différence entre un bidouilleur et un expert. En planquant les fonctionnalités avancées, on fait le pari de fabriquer des bidouilleurs plutôt que des experts.
Hier soir, il y avait une petite cérémonie à la mairie pour remercier les donneurs ayant accompli 25, 50 et 75 dons du sang. Il y avait beaucoup de responsables pour peu de “diplomés”.
Je profite donc de ce billet pour encourager mes lecteurs à faire un petit don de leur sang, leurs plaquettes ou leur plasma. Parce que ces dons, c’est comme le logiciel libre : vous donnez un peu, et ça ne vous prive pas, et en même temps , vous aidez et même sauvez des personnes.
Le chef du centre EFS a aussi pris la parole pour rappeler que la France était très en retard pour les donneurs potentiels de moelle. Le don de moelle, loin d‘être une contrainte périodique, consiste premièrement à se faire enregistrer avec une prise de sang et un dépistage pour être enregistré dans la base des donneurs. La probabilité d‘être appelé reste infime, mais on sait à ce moment que l’on s’apprête simplement à sauver une vie. Il manque particulièrement des donneurs masculins de moins de 30 ans. Je ne suis moi-même pas inscrit, mais je me promets d’y remédier.
Pour plus d’information :
bq. E.F.S. Rhones Alpes centre de Chambéry tél : 0479693745
Hier soir, je regardais une série TV que j’aime particulièrement : “Les experts : Las Vegas” dans un épisode particulièrement piquant. Un malfrat faisait voir à l‘équipe du CSI un de leur collègue enterré vivant, via internet.
Ma première idée fut que la connexion internet devrait leur permettre de tracer l’origine des images. Mais apparement, cette hypothèse était démentie par l’expert informatique qui affirma que le malfrat utilisait un proxy pour brouiller l’origine de la video.
C’est à peu près normal dans l‘épisode sinon le suspens aurait disparu.
Je ne suis pas un expert (!!) en réseau, mais cette réfléxion m’a intrigué. Si vous avez des pistes : peut-on effectivement complêtement camoufler l’origine d’un flux pour qu’il résiste à l’analyse pendant 12 heures ?
C’est ce que certains semblent croire.
L’Irak ne fait pas mine de se calmer, et des GI trinquent . Le pragmatisme américain a son prix, et ça me fait exactement penser à une ancienne civilisation, les mayas.
Après tout, les américains ne sont-ils pas persuadés que la garantie de maintenir leur approvisionnement en énergie (solaire) fossile mérite bien quelques sacrifices ?