Dernièrement, je vous avais parlé des essais sur les nouvelles versions béta de firefox. Tout semblait aller parfaitement, jusqu‘à ce soir, où voulant me connecter sur le site de impots (et oui, c’est une des choses qu’on ne peut pas contourner), je me suis retrouvé sans certificat à présenter… Donc, il semblerait que les certificats puissent sauter au passage d’une version… Pas cool. Heureusement, pour une fois, j’avais été prévoyant en faisant un backup dudit certificat qu’il m’a suffi de réimporter dans mon navigateur pour avoir de nouveau accès au site…
Donc je conseillerais, si vous ne l’avez pas déjà fait, de faire tout de go une petite sauvegarde de ces précieuses données.
* Pour ce faire, aller dans le menu Edition->Préférences.
* Section “Avancé”, onglet chiffrement, bouton “Afficher les certificats”.
* Dans la nouvelle fenêtre, onglet “Vos certificats”, sous DIRECTION GENERALE DES IMPOTS, sélectionner le certificat à votre nom, puis cliquer exporter.
* Choisir un endroit sur pour la sauvegarder (pas votre clef USB !)
* Choisir un mot de passe pour sécuriser le fichier de certificat, vous voyez la “qualité” du certificat augmenter avec le nombre et la diversité des caractères.
* Si vous en avez d’autres susceptibles d‘être sauvegardé, même manip, si possible avec un mot de passe différent…
Voilà ! Pour un import, ben même endroit, mais en selectionnant importer.
Nouveau cas d‘étude des comportements cahotiques de nos outils informatiques, je viens de m’apercevoir que le filtre de pourriel de commentaire de pivot rejette tout commentaire qui contient le mot “sérieusement”.
La nouvelle mouture de OpenOffice.org est disponible, et j’ai même eu droit à une lettre d’information pour cette dernière version. De nombreuses améliorations au programme, je vous laisse à la lecture fascinante des notes de publication.
Mais surtout, ce qui pourrait intéresser certains dans leur migration depuis la suite MS office, c’est maintenant une compatibilité accrue avec VBA :
Finally, OpenOffice.org 2.4 introduces VBA support allowing a number of existing VBA macros to be run unmodified.
Un autre point important, la volonté de Sun de dénombrer les utilisations de sa suite par la demande d’enregistrement des copies de OOo. Je pense que c’est un bon mouvement, avec un aspect donnant-donnant. Sun montre l’impact du logiciel qu’il a libéré, et ces chiffres qui seront publics peuvent faire pencher la balance lors de choix de déploiement, ce qui ne manquerait pas de renforcer l’image du format ODF.
Firefox protège l’utilisateur lambda contre des sites mal intentionnés en interdisant tout accès aux fichiers locaux dans les pages chargées.
Exemple
Vous pourrez voir dans la console de sécurité (menu Outils->Console d’erreur) que l’accès au lien est interdit. C’est une bonne mesure de sécurisation. Problème, quelques fois on veut pouvoir faire référence dans un wiki à des pages de documentation normalement installées sur le poste de développement. Firefox propose une solution (pas immédiate) pour permettre un filtrage par site des accès locaux.
Pour celà, il faut comme indiqué ici quitter firefox, et éditer le fichier prefs.js dans votre profile firefox et ajouter à la fin les lignes :
bc. user_pref(“capability.policy.policynames”, “localfilelinks”);
user_pref(“capability.policy.localfilelinks.sites”, “http://www.example.com”);
user_pref(“capability.policy.localfilelinks.checkloaduri.enabled”, “allAccess”);
Voilà, votre site example.com est maintenant habilité à faire référence à des fichiers locaux.
En discutant avec un collègue de gestion de version (c’est ma lubie du moment, vous l’avez peut-être remarqué), j’ai retrouvé le nom de la première de gestion de version sur laquelle j’ai pu mettre la main : SCCS. A l‘époque, elle était déjà considérée comme ancienne, bien que toujours utilisée. Wikipédia (en anglais) m’en a retracé l’histoire et j’ai eu un petit pincement en la lisant.
OK, ce n‘était pas libre, et il y avait déjà un remplacant gnu RCS qui peuple aujourd’hui tout Unix. Pour le vérifier taper “ci” en ligne de commande… Puis CVS a ajouté une couche multiutilisateur sur RCS…
Autant la page de wikipédia en anglais sur SCCS est intéressante, autant celle en français est indigente. Il va peut-être falloir remédier à ça, pour rendre hommage à l’ancêtre. Pour RCS en français, c’est bien.
Jeudi dernier, j’ai eu l’occasion d’aller à Solutions Linux pour aller à la pêche aux informations sur les sociétés qui marchent avec le Libre. Bonne nouvelle ! Le monde du libre se porte bien dans la sphère économique.
Pour exemple, j’en veux cette personne, qui a force d’entendre au sein de l’association Postgresqlfr des demandes de services par des sociétés, a décider de prendre des membres actifs dans une structure économique. Et il semble que celà leur sourit !
L’orientation qui apparait, ou est-ce du à l’orientation du salon lui-même, les logiciels libres apparaissent principalement dans les administrations et les grands systèmes. Pas mal de sociétés sur la VOIP avec asterisk.
En fin de journée, un petit clin d’oeil aux chapeaux rouges qui égayaient les stands, avec une petite pointe de nostalgie pour la première distrib que j’ai installée tout seul…
Avec vmware, le problème est que linux utilise la prériodicité des interruptions de son ordonnanceur pour maintenir son heure courante. Mais comme dans une machine virtuelle, les interruptions d’ordonnanceur ne sont pas périodiques, on observe un étirement du temps dans la machine virtuelle. Solution préconisée par Vmware et qui a marché dans la cadre d’une buildix :
* installer les vmware-tools et activerle démon
* éditer le fichier .vmx de la configuration de la machine virtuelle sur le système hôte et activer l’option
tools.syncTime = "TRUE"
* Changer les options de boot dans grub et ajouter
noapic nolapic nosmp clock=pit
* Redémarrer buildix
Maintenant, mon dépot subversion est à l’heure !
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