J’ai installé une batterie de protections antispammeur. Si vous rencontrez des problèmes dans les commentaires ou les rétroliens laissez-moi un message envoyez-moi un mail !
j’espère que ça va calmer les enf abrut visiteurs non sollicités qui polluent le web.
Edit : Et ça marche déjà ! 4 spam de rétroliens arrêtés en 10 minutes !
Aujourd’hui, nouvel assaut de spam des rétroliens. Mais cette fois-ci, j’ai l’impression que c’est trop subtil pour ma compréhension… Tous les rétroliens pointent vers msn.com ou google.com.
J’ai une hypothèse qui correspondrait à de l’empoisonnement d’apprentissage. Les sites référencés ne sont pas reconnus pour leurs activités susceptibles d‘être arrêtées par les filtres. Du coup, l’hôte source n’est pas référencé comme suspect. Et à la prochaine vague, celle-ci étant bien entendu réellement poubelle, elle passe au travers. Le seul problème est que ce système est très utilisé pour le mail, mais je ne connais pas de moteur de blog utilisant l’apprentissage… Donc, ca semble sans intérêt.
Affaire à suivre.
Etant dans le développement sous Delphi, j’ai appris comme tout que Borland était prêt à vendre sa branche produits de développement. J’ai donc voulu mettre à l’essai léquivalent libre de Delphi : Lazarus. Après téléchargement des rpms du compilateur FPC, une petite extraction des sources de l’environnement de développement par subversion, un make, je lance ./lazarus.
Bonne surprise, l’environnement est très similaire à Delphi, même mieux par certains points de vue (aide à la saisie, réglage plus fin du compilateur). Je charge les quelques projets exemple qui compilent et tournent sans problème. Je suis abonné à la liste de diffusion du développement de lazarus, et je vois que ça bouge beaucoup, mais au vu du résultat final, je dirais que c’est encore mieux que ce que j’avais estimé.
On dit que le pascal n’est qu’un langage d’apprentissage utilisé à l‘école. Je ne suis pas d’accord. En tout cas, avec lazarus, on a maintenant la possibilité d’enseigner le développement RAD avec un langage “d’apprentissage” dans un environnement de qualité professionnelle, et qui plus est, avec du logiciel libre !
Ce soir, pour jouer au hacker des films d’Hollywood, je me suis amusé à faire des xtraceroute. Pour une route vers sourceforge, ça donne ceci :
Pour accéder au Japon , ça fait ça :
Seul petit soucis, il faut entrer pas mal d’hôtes à la main pour obtenir quelque chose de présentable. Peut-être l’occasion de mettre en commun ?
Tristan Nitot, dans son blog, nous fait part de son coup de barre alors qu’il pense au DRM. Dans son texte, un phrase a fait clic dans ma tête :
bq. Je n’entends pas faire une croix sur mon patrimoine culturel à chaque fois que mon matériel, dont l’obsolescence est programmée dès la conception pour favoriser le renouvellement du parc, rend l‘âme comme prévu.
Nous y voilà. Les industries des média de masse (sic) prétendent lutter contre la dématérialisation supposée de leurs produits qu’engendrerait l’internet. Ce discours est fallacieux. Il ne faut pas se tromper : un film est fait pour être vu, une musique pour être écoutée. Tant que ces oeuvres ne sont qu’une suite de bit sur une galette circulaire, elle n’ont pratiquement aucune valeur. Et d’ailleurs, avant l’apparition des supports, le seul moyen d’en profiter était de d’assister à une représentation vivante. Quoi de plus dématérialisé qu’un spectacle !
Aujourd’hui le support est multiforme ; mais le contenu reste le même et il doit pouvoir perdurer si j’ai acheté le droit d’en profiter. Je ne le consomme pas. Le problème est que ça limite sérieusement les possibilités de “développement de produits” des industriels de la culture.
Ce n’est donc pas contre une dématérialisation que ces firmes luttent mais bien pour un renforcement de la matérialisation de la culture.
Vu sur linuxfr : l’architecte de Firebird, code libéré d’Interbase va intégrer la partie serveur/relationnel de son code dans MySQL. Mon sentiment à cette nouvelle est mitigé :
* Je suis heureux de voir que des personnes qui ont pris le virage de l’open source aient la possibilité de travailler sur leur passion, et de la faire partager. * MySQL qui avait du souffrir de se voir retirer le support de InnoDB a bien négocié sa conversion avec un moteur solide comme FireBird. * Un sondage des bases de données utilisées dans l’opensource donnait au début de l’année dernière MySQL avec 40 % des parts et Firebird avec 39 %. Un fusion de ces moteurs amènerait à un véritable squat des bases de données. Ce qui pourrait être gagné en “mise à niveau entreprise” pour ce SGBD pourrait être perdu plus globalement en diversité dans les choix de systèmes opensources.
Depuis la discussion sur le chiffrement, et en vue de la petite présentation que je compte faire le premier jeudi de février, j’ai recherché un peu l’histoire des algorithmes à clefs publique :
* 1643, Fermat remarque que si on peut exprimer un nombre comme la différence de 2 carrés alors ce nombre est factorisable : x= a² -b² = (a+b)(a-b), ce qui transforme un problème de multiplicatif en problème additif. * 1912, les frères Carrissan créent un machine mécanique à factoriser les grands nombres, grâce à la méthode des congruences. * 1976, Whitfield Diffie et Martin Hellman proposent une nouvelle façon de chiffrer avec deux clefs. * 1977, RSA est inventée par Ron Rivest, Adi Shamir et Len Adleman (il y aurait de l’antériorité anglaise).
Des liens : * RSA * Clef publique * résumé de l’histoire de la crypto moderne
